Edouard Philippe : ce talent caché qui en amuse beaucoup à Matignon
Dans un article paru ce lundi 10 juin, Le Parisien s’intéresse à la garde rapprochée d’Edouard Philippe. L’histoire d’une « bande de potes » avec au milieu, un Premier ministre qui n’est pas en reste lorsqu’il s’agit d’amuser la galerie.
Edouard Philippe est bien entouré. A Matignon, il peut compter sur plusieurs personnes, des conseillers qui sont avant tout ses amis. Dans un papier consacré au Premier ministre et paru ce lundi 10 juin, Le Parisien évoque cette « bande de potes » avec « le chef » au centre. « Edouard a une fidélité en amitié, un côté sentimental. Il est très attachant, quand tu le connais bien », glisse un ami de longue date. En revanche, lorsqu’il n’est pas content, il n’hésite pas à hausser la voix, selon un autre conseiller qui s’est confié au quotidien.
Dans cette garde rapprochée, il y a Charles Hufnagel, son directeur de la communication qu’il a connu chez Areva, et Gilles Boyer, son ancien conseiller politique devenu député européen. Laisser ce dernier quitter le navire, c’était comme « s’arracher un bras » pour Edouard Philippe. Mais malgré ses nouvelles fonctions, il reste très présent, dans l’ombre cette fois. À ce trio s’ajoute Thierry Solère, un intime du Premier ministre, mais également Benoît Ribadeau-Dumas, son directeur de cabinet (qui est aussi l’un des hommes les plus craints de la majorité).
Edouard Philippe, un vrai farceur
Comme le rapporte Le Parisien, les bureaux d’Edouard Philippe et de sa garde rapprochée ne se trouvent pas dans la même pièce. Mais malgré les murs qui les séparent, les portes restent, la plupart du temps, ouvertes. Et souvent, le bras droit d’Emmanuel Macron aime plaisanter. L’humour, c’est même « le ciment de cette petite troupe », analysent nos confrères. Le terrain de jeu préféré du Premier ministre ? L’imitation.
Selon nos confrères, le locataire de Matignon est « capable de débarquer dans leur bureau pour tester une vanne ou une imitation de Jacques Chirac. »Le mari de Bernadette Chirac n’est pas sa seule victime, il y a également eu Laurent Wauquiez. L’annonce du retrait de ce dernier aurait ainsi été une « grande déception » pour Edouard Philippe. Et pour cause, « il avait atteint un certain niveau de maîtrise », confie l’un de ses collaborateurs. En revanche, il n’imite pas le président. « Jamais ! C’est dur, de toute façon », reconnaît l’un d’entre eux. Preuve qu’Edouard Philippe a tout de même des limites. Qui sera sa prochaine cible ?
Crédits photos : Best Image
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